Choux de Bruxelles aux marrons

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Défaire les choux et les blanchir 5 min dans l’eau bouillante. Egoutter, puis faire cuire 20 min à l’eau.

Faire revenir un oignon dans du beurre et ajouter les choux, laisser cuire 10 min et ajouter des chataignes (ouais marrons, c’est un abus de langage). Laisser encore 5 min et servir avec ou sans saucisse de Morteau et saupoudré (ou pas) de furikake.

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Dahl de potimarron pour l’automne

Voici une recette qui réchauffe pour les premiers jours froids de la saison. Comme d’habitude, elle est basée sur des ingrédients de saison, et embarque au passage des éléments non prévus :

Faire revenir un oignon dans une matière grasse (huile de colza pour moi) et ajouter les épices (curry, coriandre en poudre, cannelle, fenugrec, ail, gingembre frais râpé) en les faisant chauffer quelques minutes. Si vous n’avez pas tous les épices, ce n’est pas grave. Leur quantité dépend de votre goût et du volume de légumes.

Ajouter un bol de lentilles rouges et 1/2 potimarron coupé en cubes (non épluché, la peau est délicieuse s’il est cultivé sans pesticide). Couvrir d’eau (juste au niveau des légumes) et cuire 10 min. Ajouter une petite brique de lait de coco. Cuire à nouveau 10 min.

Comme j’avais une pomme qui s’abimait, je l’ai ajoutée en cube en même temps que les épices. Comme j’avais des grains de raisin qui raintriçaient*, je les ai ajoutés 1 min avant de servir. Comme j’avais les premières noisettes de la saison, je les ai ajoutées au moment de servir. Comme vous avez aussi des ingrédients qui attendent parfois trop longtemps et que vous avez de l’imagination, essayez de les marier au gré des situations. Bonnes surprises garanties !

Servir avec du riz blanc.

* Raintrir : Chez moi, ça veut dire « sécher et se recroqueviller sur soi-même »

Reintrir (adj.) Ridé. « Cette pomme est toute reintrie« . Du latin restringere. Variante : Raintri, Rintri. Synonyme : Regrigné.

Soupe poireau et potimarron

Recette rapide et étonnante, je vous la partage, car il serait dommage de ne pas l’essayer.

Émincer un poireau et le faire revenir dans un fond d’huile ou de beurre, selon votre philosophie de vie.

Ajouter un demi-potimarron en cubes (laver sans l’éplucher mais en retirant les pépins centraux), laisser encore revenir qq minutes.

J’ai mis du sel aux herbes, mais si vous n’avez pas ça sous la main, vous pouvez ajouter une petite branche de céleri ou les herbes que vous aimez, sel, et poivre.

Ajouter de l’eau jusqu’à couvrir les légumes, cuire 20 min, mixer, déguster.

Je n’avais pas de crème, mais finalement c’est très bon sans crème.

Patidou au Mont d’or

Le patidou est une citrouille modèle réduit, facile à cultiver et qui correspond à une portion pour une personne.

Pour cette recette saisonnière et locale, il vous faut très peu d’ingrédients mais un patidou par personne. C’est une recette très simple et fantastique.

Vous coupez le sommet du légume, vous retirez les graines centrales et vous mettez cuire au four 15 min à 180°. Puis après cette précuisson, mettez une cuillère à soupe de Mont d’or au fond de chaque patidou, une gousse d’ail émincée, poivre et une autre cuillère à soupe de Mont d’or. La quantité de Mont d’or nécessaire dépend donc du nombre de patidoux, de la taille de vos cuillères et de la taille de vos patidoux.

Remettez tout ça au four 25 min avec le chapeau du patidou. Sortir 10 min avant dégustation, avec une salade verte pour faire de la couleur. A mon avis, vous allez aimer !

Bonus : vous pouvez aussi mettre une goutte de vin blanc en même temps que le fromage; la quantité de vin blanc dépend de votre amour du vin blanc et de la taille du patidou.

Curry de courgettes râpées à la poêle

Après 2 mois d’une récolte de courgettes sans interruption, il devient nécessaire de trouver de nouvelles recettes. Celle-là sort de mon imagination et des recettes habituelles, et en plus, elle comporte une fin bonus !

Je râpe une énorme courgette en provenance du jardin, lavée et non épluchée (les nutriments de la peau sont exceptionnels et mon jardin n’est pas traité). S’il y a des graines au centre, je les élimine en gros.

Dans une poêle, je fais revenir un oignon, une échalote et une gousse d’ail hachés dans de l’huile d’olive. Pendant les premières minutes, j’ajoute du cumin en grain, du curcuma et du curry. Quand les alliacés sont transparents (oignon-échalote-ail sont de la grande famille des alliacés : je voulais faire court, mais il faut tout vous expliquer), j’ajoute la courgette râpée. On peut ajouter sel et poivre. La courgette commence rapidement à rendre de l’eau et là, il faut ajouter une petite tasse de lentilles corail et mélanger.

Laisser cuire 15 à 20 min le temps que les lentilles soient cuites : elles perdent alors leur couleur rose pour se fondre dans le mélange, mais elles lui apportent de sa consistance. La quantité de lentilles dépend de la taille de la courgette, l’eau de la courgette devrait suffire cuire les lentilles. Mais à vous de vérifier ça, car toutes les courgettes ne sont pas identiques. Si nécessaire, ajouter un petit peu d’eau au fond de la poêle.

J’ai mangé une partie de la recette telle que, mais j’ai mixé une partie pour faire une tartinade pour l’apéritif : c’est excellent !

Pâte à tartiner incroyable

C’est l’histoire d’une recette adaptée d’une adaptation. Et c’est une bonne leçon de cuisine (et de vie peut-être).
Ma collègue Isabelle est allergique aux produits laitiers notamment et a toujours de super recettes originales végétariennes et saines. Elle me donne donc sa recette de pâte à tartiner avec très peu d’ingrédients. Je pense que c’est censé remplacer le Nutella. Ben là excuse-moi, mais tu peux jeter ton pot de Nutella direct si tu essaies la recette qui suit :

Prendre 9 dattes et les faire tremper dans un lait de noisettes (lait végétal au choix, ça marche aussi). Puis égoutter sans jeter le lait, mixer les dates au mixer plongeant, ajouter 1 cuillère à café de cacao non sucré en poudre et une poignée de poudre de noisettes. Ajouter du lait réservé jusqu’à obtenir la bonne consistance.
Première fois que je fais la recette, je remplace la poudre de noisettes par de la noix de coco car je n’aime pas l’association chocolat/noisettes. Dans le même temps, j’oublie le chocolat. Le résultat est vraiment sympa ! Alors qu’il n’y a pas de sucre ajouté, c’est onctueux et sucré, tout doux !

La seconde fois, je me concentre et j’ajoute la poudre de cacao. Alors là, c’est tout bonnement divin, ça ressemble à du Bounty mais sans huile de palme, sans graisse, sans sucre. C’est vraiment incroyable comme recette.

Donc, je résume : Si t’aimes pas le Bounty, tu prends de la poudre de noisettes, si tu n’as pas de chocolat en poudre, ça marche quand même, si tu n’as pas de lait de noisettes, tu prends du lait de ce que tu veux. Tu adaptes, tu inventes, tu oublies des trucs et tu crées ta recette à toi. Et tu jettes tes merdes industrielles qui pourrissent ton système immunitaire, la forêt et les grands singes.

Si tu veux faire un dessert sain et décadent à la fois, tu peux faire des carrés à la farine de châtaigne, les couper dans le sens de la hauteur et poser une cuillère de pâte à tartiner avant de remettre le carré du haut.

Navets glacés à l’orientale

Cuire des navets nouveaux 10 min dans l’eau bouillante salée (si vous avez des petites carottes, ça peut être sympa aussi !). Les légumes doivent rester bien fermes.

Mettre dans un wok à feu vif les légumes égouttés, 5 cm de gingembre rapé, 2 cuillères à soupe d’huile d’olive et 2 cuillères à soupe de miel. Laisser caraméliser en remuant. Juste avant la fin de la cuisson, ajouter 3 cuillères à soupe de sauce soja et du poivre.

Si vous avez de la coriandre sous la main, ajoutez des brins émincés au moment du service.

Le bon rösti de chez nous

Peut-être que vous appelez ça Galette de pommes de terre en Bourgogne mais chez nous, c’est des röstis et je me demande soudain pourquoi je n’en fais pas plus souvent… Si tu n’as rien chez toi, tu as quand même bien quelques patates non ??

C’est très simple, car il faut surtout des pommes de terre et seulement des pommes de terre. Moi j’aime bien rajouter un oignon haché fin et un peu d’ail mais c’est du bonus.

On râpe quelques patates, d’une quantité correspondant au nombre de convives et à leur appétit, et on laisse 5 minutes au repos. Ensuite, pour enlever le jus produit, je roule dans un torchon propre et je remets dans le saladier. Là, j’ajoute oignon et ail, mais surtout sel et poivre. Puis j’étale ça en galette dans une poêle bien chaude avec la matière grasse (au choix et en quantité généreuse, beurre ou huile de colza). Laissez environ 7 min de chaque côté, à feu moyen (enfin, tout dépend de votre plaque de cuisson bien sûr).

Curry d’hiver au chou-fleur

Curry je t’aime, curry je t’adore.
Je pourrais manger du curry tout le temps. Et un jour peut-être je m’en lasserais… comme ma grande n’en peut plus de manger de la pizza le dimanche soir. La vie n’est pas toujours simple.

En janvier, si nous faisons la liste des légumes de saison et que nous la confrontons à mon envie de curry, ça donne curry de chou-fleur. J’avais une autre recette avant (avec de la sauce tomate), mais celle-là est vraiment mieux.

Coupe ton chou-fleur en fleurs ainsi que deux branches de céleris en tronçons (grands si tu ne les manges pas, fins si tu les manges).
Blanchis ça à l’eau bouillante salée (10 min) et égoutte.

Dans une poêle, faire revenir 1 oignon haché. Ajoute du gingembre (râpé c’est meilleur) et une cuillère de pâte de curry (ou des épices à curry). Ajoute une boite de lait de coco et un zeste de citron (s’il est bio).
Ajoute les légumes égouttés : chou-fleur et céleri, une boite de pois-chiche et une de petits pois (ou une poignée de petits pois surgelés).
Laisse cuire encore 10 min, le temps de faire le riz.

Ceci est une libre inspiration de la recette du blog Marciatack, dont je vous propose à votre tour de vous inspirer librement.

Gnocchis à la courge butternut

Profitons de ce dernier jour de congé pour acquérir un nouveau savoir faire. J’ai fait des gnocchis !! Au prix où l’on achète ça dans les supermarchés, ça fait longtemps que je me dis que ça serait bien d’en faire. Et là, j’avais dans le frigo une demi courge butternut cuite au four il y a 2 jours.
Du coup, gnocchis à la courge, c’est encore bien plus cher que des gnocchis basiques au magasin bio. Banco !

J’ai cuit 400g de pommes de terre au four. Après refroidissement, je les ai épluchées et écrasées à la fourchette avec mes 400g de courges restant. J’ai ajouté deux jaunes d’oeufs, sel, poivre, une pincée de cumin. Mélange de tout ça…
Ensuite, j’ajoute 400g de farine, mais il faut amalgamer à la main à ce stade.

Quand la pâte devient ni trop farineuse, ni trop collante, former des boudins sur la table, couper en bouts puis rouler sur une fourchette. Pour faire l’aspect gnocchis. N’hésitez pas à fariner les gnocchis pour éviter qu’ils ne collent au plat.

Cuire 1 min, le temps qu’ils remontent à la surface de l’eau bouillante, égoutter puis faire revenir à l’huile d’olive pour les dorer.

Je vous conseille de faire une sauce à côté, ou une salade verte, sinon, c’est un peu étouffant/bourratif. D’ailleurs, on en a tous mangé moins que prévu : je dirais qu’il y en a pour 5 ou 6 personnes.